Jérémie Felissard a été éliminé de Top Chef le mercredi 11 mai 2023. Le chef de Montréal repart de l’émission avec de beaux souvenirs… et l’amitié d’un grand chef.
C’est aux portes des quarts de finale que le Montréalais a tiré sa révérence : Jérémie Felissard a été éliminé mercredi 11 mai 2023 de Top Chef, le concours culinaire de M6. Envoyé affronter Danny Khezzar dans La brigade cachée, Jérémie a échoué à battre le jeune cuisinier, qui élimine consciencieusement chaque candidat, semaine après semaine.
Jérémie déçu par son élimination de Top Chef
“Je suis quelqu’un de très compétiteur, que ce soit dans ma vie professionnelle ou dans le sport en général. Je me suis vraiment pris au jeu du concours et quand on s’approche des quarts de finale, forcément on se dit qu’on peut aller au bout”, a expliqué Jérémie au Huffington Post dans une interview parue le jeudi 11 mai 2023. J’avais donné mon maximum cette journée-là et savoir qu’on perd, forcément c’est décevant.”
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Malgré tout, le doyen de la saison, que les candidats appelaient affectueusement “papa”, garde un bon souvenir de son passage dans le programme. “Ça valait le coup de traverser l’océan Atlantique pour vivre cette expérience extraordinaire avec des rencontres incroyables”, a-t-il déclaré après avoir expliqué avoir été contacté à plusieurs reprises pour participer à Top Chef Canada… et avoir décliné.
Jérémie aujourd’hui “pote” avec Glenn Viel, son chef de brigade dans Top Chef
Jérémie, qui a participé à Top Chef dans la brigade de Glenn Viel, a tissé avec le chef des liens étroits. “C’était une relation finalement très amicale. On est de la même génération, avec quelques années d’écart. J’ai beaucoup aimé son leadership naturel, son charisme et sa vision culinaire. On a beaucoup de points communs, même sur l’humour et les façons de penser. On peut dire que c’est devenu un pote”, a expliqué Jérémie Felissard. Je me suis rendu compte qu’on a une philosophie de cuisine très semblable, à savoir d’aller vraiment sur les points forts : toujours avoir une belle cuisson, faire une belle protéine, penser aux assaisonnements, faire une petite sauce, une petite différence sur une huile ou une épice, travailler un légume mais le respecter, avoir une assiette très lisible. Il avait tendance à souvent mentionner tous ces petits facteurs. Entendre ce genre de mots me remettait un peu les pieds sur terre et en même temps, c’était rassurant car c’est quand même un chef 3 étoiles.”